dimanche 13 septembre 2009

10 commentaires:

  1. faudrait lire la suite
    très beau mais incomplet
    accumuler pour en faire...quoi?

    c'est mon sentiment, après plusieurs lectures, qu'il manque quelque chose, peut-être une présence individuelle marquée, un sens personnel, une destinée, une volonté...

    quoiqu'il en soit, "Lettres à un jeune poète" est un incontournable

    merci André

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  2. "c'est mon sentiment, après plusieurs lectures, qu'il manque quelque chose, peut-être une présence individuelle marquée, un sens personnel, une destinée, une volonté..."

    je crois que ce qui manque appartient au lecteurs, à la lectrice de ces lignes. comme si la vie vécue mène à plusieurs réponses qui conviennent à ce vide senti...

    je me sens appelé
    au-delà de moi-même,
    dans un lieu,
    un état d'être,
    un berceau,
    un navire,
    un ailleurs...
    autant de vaisseaux
    suaires de rencontres ciselantes...

    cycles ingénieux :
    semence,
    arbre,
    fruit,
    nourriture.

    comme un foetus essayant de comprendre l'usage de ces appendices mysterieux que sont les bras et les jambes, les oreilles et les yeux.

    il existe en son état
    en voyage vers un autre,
    moins visible,
    toujours plus incarné,
    si le mouvement de l'être,
    selon sa semence, persiste et signe... :O)

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  3. ekhrcvnu4-02ic e;j -
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    bizzareries en suspens de paresses contrôlées

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  4. la 1ie strophe - la dern.phrase(mettre en réserve)
    21e strophe=ok
    tu pense sér. qu'un...fait ça? crétin!
    4ie strophe: 4 premières phrases=no.1

    les 2 dernières belle plongée en attente
    mise a jour a faire là
    la confusion est installé
    ce n'est pas clair

    il y a là un piège
    en tout il y a 2 pièges


    en bref: dern. phrase du 1ie.

    le 3ie

    les 2 dern. du 4ie

    ce bref est le noeud de georges...

    tu pourrais y laisser ta peau

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  5. J'suis pas d'accord à 17% avec le commentaire d'ô tisse tic sky zoo id. ;-)

    En considérant que la 21e strophe=ok
    et que la 4 premières phrases=no.1
    et qu'un crétin pense à faire l'ensemble du reste
    Il reste que nous sommes le miel du visible
    J'aime bien l'idée.

    Alors
    Butiner éperdument dans le visible
    nous rends t il invisible dans l'Univers...

    Quel nœud dangereux
    Qu'est ce que la peau

    M'approprier mes propres questions
    C'est ce que j'aime à vous fréquenter

    J'ai lu relu Rilke
    Pas pour le comprendre
    Pas parce qu'il a raison
    Mais j'aime mesurer mes réflexions à ses grandeurs
    Ainsi qu'au vôtres

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  6. relire les auteurs qu'on a aimés
    pour s'y mesurer

    oui! absolument!

    un regard de parcours
    plutôt qu'un point fixe

    les deux pièges:

    -quand la pensée exprimée ne tranche pas, elle n'émane pas de l'esprit et ne peut donc faire son office, qui est de trancher( noeud gordien )

    et

    -ce (celui) qui n'est pas nommé

    :D)))))))

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  7. Nous sommes
    de l'invisible...
    le miel du visible:
    pour l'accumuler
    dans la grande ruche d'or,
    les abeilles de l'univers
    nous butinent éperdument.

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  8. je me sens appelé,
    au-delà de moi-même,
    dans un lieu,
    un état d'être,
    un berceau,
    un navire,
    un ailleurs...
    autant de vaisseaux...


    cycle ingénieux:
    semence,
    arbre,
    fruit,
    nourriture.

    suaires de rencontres ciselantes...
    feotus essayant de comprendre
    la coupure de son être
    en son âme
    a l'usage de ses membres inconnus
    de mystère
    de ces bras... de ces jambes...
    de ces zoreilles...
    de ces yeux...


    il existe en son état
    en voyage vers un autre,
    moins visible,
    toujours plus transcendé,
    c'est le voeu et le souhait
    et d'effort et d'effort...


    et la présence de l'être
    persitera toujours
    derrière les mouvances
    poussant aux semences

    et les signes,
    écoutons-les.


    j'interprète.
    j'interprète.
    j'interprète.

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  9. ô tisse tic...

    "et la présence de l'être
    persitera toujours
    derrière les mouvances
    poussant aux semences"

    bien dit, en effet...

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