ton coeur est une grande maison
dont tous les rideaux sont fermés,
y a plus de poignée de porte dehors
t'es le seul qui peut ouvrir...
entre les respirations,
dans la peau d'un autre moi,
les bras à l'observe,
je m'assieds près de la fontaine
sur l'esplanade des retours,
rue de pavés disjoints,
soupirs d'un parfum d'époque,
sondant les visages
d'un passé confus,
déformés par l'angle de la lumière
qui fait mentir les ombres.
la pluie arque le ciel,
jusqu'à l'épuisement
des esquisses d'une voix,
qui n'appelle ni n'intervient
(une autre fois, peut-être)
le regard devient contemplation
le silence révérence,
le temps, un présent éternel.
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qui fait quoi dont où et alors
RépondreEffaceralors un très beau texte !
strophes 4 et 5 mes préférées
Jean-Marc :)
te vois juste 4 parag.
RépondreEffacerc'est les 2 derniers les miens
$5. que c'est les mêmes
le texte a t il été changer?
y é paresseux mais avec la maison de ses rêves
on va aller se baigné au manitoba
au rodéo de vancouver